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«  Dans la glorification du «  travail  », dans les infatigables discours sur la «  bénédiction du travail  », je vois la même arrière pensée que dans les louanges adressées aux actes impersonnels et utiles à tous : à savoir la peur de tout ce qui est individuel. Au fond, ce qu’on sent aujourd’hui, à la vue du travail – on vise toujours sous ce nom le dur labeur du matin au soir -, qu’un tel travail constitue la meilleure des polices, qu’il tient chacun en bride et s’entend à entraver puissamment le développement de la raison, des désirs, du goût de l’indépendance.

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On pourrait penser que Corine Borgnet s’offre avec « Ego Factory » - et le titre qu’elle a choisi le confirmerait- une sorte ...... 

...... suite du texte dans la rubrique Texte

"Ego Factory " par Marie Deparis-Yafil

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